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Nous allions de manière de plus en plus régulière dans cette contre allée dite "des branleurs"
Geneviève maintenant choisissait des tenues très pratiques pour ce genre de sortie.
des tenues pour offrir plus vite à la vue de ses admirateurs ses atouts.
La cinquième fois que nous y sommes allés , Geneviève, et je me doutais que cela arriverait me demandât à être "baisée", compte tenu de la circulation, il n'était pas question qu'elle soit prise sur le trottoir, ni que j 'emmène à la maison ces queutards que je ne connaissais pas. Je quittais donc ma place pour qu'elle puisse s'allonger . Le premier à la prendre fut un jeune homme , courtois , mais rapide, chose fa^te il crut devoir rester près de moi pour me tenir compagnie, et me félicitez pour mon "ouverture d'esprit" et autres balivernes.
Un Noir s'avançât pour la prendre à son tour, il enduisit son gland de salive avant de s'enfoncer dans la chatte trempée de Geneviève , à peine commençait - il à la limer, que le bruit d'un clapotis intense se fit entendre, elle mouillait terriblement. Elle se mit a gémir à dire des " c'est bon , c'est bon vas y encore , hum baises moi"
Je l'entendis jouir comme elle n'avait jamais joui. Ces cris de jouissance furent des plus sonores, elle n'avait plus aucune retenue, aucune pudeur.
Elle se fit encore reprendre une fois après.
Quand nous rentrâmes à la maison, à peine la porte fermée, s'adossant sur le battant elle relevât sa jupe
me montrant sa vulve aux poils colles, " A genoux , lèches salaud"
Je m'exécutais, ma langue trouvât sa fente trempée s'y insinua je la léchais consciencieusement jusqu'à ce qu'elle jouisse