Samedi 24 août
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J'ai la soixantaine, je me suis marié en 1976 je trouvais ma femme splendide, j'etaisn très amoureux d'elle.
Les dix premières années de notre mariage se sont passées harmonieusement.
Nous faisions l'amour, Geneviève préférait que je le lui fasse avec la langue, quand elle avait joui je pouvais la prendre.Elle ne me suçait jamais, prétextant qu'elle ne trouvait pas de plaisir à la fellation.
Nous avons eu une fille léa, née en 1985.
Il y eut un jour, une grande dispute entre elle et moi.
Pour la première fois de notreunion Geneviève utlisat à mon encontre le terme de "sous-membré"
j'en fus blessé. Je choisis de me taire.
Dès lors qu'il eut cette première remarque désobligeante, Geneviève se mit à m'en faire de manière régulière, et de plus en plus rapprochées avec le temps.
D'abord quand nous faisions l'amour et que je la léchais, elle gémissait en murmurant "que ce doit être bon d'être prise par un beau membre. Expression qui devint au fil du temps par une belle queue , par une vraie bitte etc...
puis vint l'humiliation. Elle fit devant mes amis des remarques, genre "j'espère que tu es correctement membré toi et que tu es capable de donner du plaisir à ta femme"
J'ai su que des "amis" à la suite de ses propos téléphonaient à Geneviève pour proposer leurs services
pour palier à mon insuffisance.
Son acrimonie allait jusqu' à m'humilier devant Léa, dès que celle-ci fut en âge de comprendre.
Un soir, elle me demandât de l'emmener faire un tour, dans un quartier, dont je sus plus tard qu'on l'appelait lle "coin des branleurs " qui se trouvait entre le parc des princes et la Porte Dauphine.
Il était nuit , au début de la contre allée, était l'emplacement des noirs et des arabes, ils étaient sexe dehors, naturellement en érection, et se masturbaient devant les voitures qui passaient ignorant même qui étaient à l'intérieur.
Je fis un premier passage jusqu'à la porte Dauphine. Je voyais les bittes défiles, et fus contraint d'admettre
que la nature m'avait peu doté.
Geneviève me demandât de refaire un deuxième passage, moins rapide que le premier, en partant des queues blanches .
Je roulais lentement, écoutant les commentaires grivois de ma tendre épouse.
Arrivé à la hauteur des Noirs et des arabes, elle me demandât si j'étais capable de m'arrêter.
Naturellement je le fis.
Les deux noirs et l'arabe qui étaient là traversèrent, se mirent à la fenêtre de mon épouse,
masturbant leur membre sous ses yeux. Je comprenais mon insuffisance.
Elle ouvrit sa vitre, et d'adressant à l'un deux
" Je peux vous sucer?"
il ne répondit pas, il présentât son sexe à la bouche de Genevieve qui le prit.
Elle reçut les 3 hommes dans sa bouche, qui s'y soulagèrent.
tandis qu'elle se caressait elle même.
Quand tout fut fini, elle se tournât vers moi fière et hautaine
" tu ois c'est ça une bitte